Le 29 septembre 1759, le navire La Virginie fait naufrage. Seul rescapé, Robinson échoue sur une île déserte où il tente de survivre à une nature hostile en déployant des trésors d'ingéniosité. Mais son existence solitaire bascule le jour où un autre être humain fait son apparition sur l'île : Vendredi, le sauvage... .
Quand il était petit, Pierre ne voulait pas manger sa soupe. «Tu sais ce qui arrive aux petits garçons qui ne veulent pas manger leur soupeoe» lui disait son père, «Eh bien, à minuit, la sorcière Cornebidouille vient les voir dans leur chambre, et elle leur fait tellement peur que le lendemain, non seulement ils mangent leur soupe, mais ils avalent la soupière avec.» Pierre s'en fichait. Il ne croyait pas aux sorcières. Mais il faut admettre que son père avait raison sur un point: une nuit, à minuit, dans la chambre de Pierre, la porte de l'armoire s'entrouvrit avec un grincement terrible et Cornebidouille fit son apparition. Allait-elle parvenir à faire peur à Pierreoe Ca, c'était beaucoup moins sûr.
Tout commença un dimanche de fête avec un ciel bleu vif, un vent d'automne et... une Célestine en colère. Après une dispute avec Ernest, Célestine décide de s'installer dans le monde des souris, chez ses amis Charlotte et Oscar. Les souris avec les souris, les ours avec les ours !. Il paraît que tout marche mieux comme ça. Eh bien allons voir...
Dans La vengeance de Cornebidouille, Pierre avait réussi à faire manger sa propre soupe à l'abominable Cornebidouille, ce qui l'avait illico transformée en potiron. Mais une sorcière se résigne-t-elle à sortir de la vie de ses victimes ? Non ! Plus tard, quand sa maman coupe en deux un poti ron pour le dîner et qu'aussitôt une odeur épouvantable se répand, Pierre a une intuition : Cornebidouille est de retour. Il ne se trompe que sur un détail. À présent, elles sont deux et elles veulent se venger. Il va encore falloir ruser !
Robert a passé une très mauvaise journée. Il n'est pas de bonne humeur et en plus, son papa l'a envoyé dans sa chambre. Alors Robert sent tout à coup monter une chose terrible : la colère...
Une ode à l'amour maternel tout en poésie et sans une once de mièvrerie. Un petit miracle. Un livre splendide, qui engage, qui rassure, qui fortifie. --Télérama- Dis, maman, est-ce que tu m'aimeras toute la vie ? demande Archibald, un soir avant de s'endormir - Hum, eh bien, je vais te dire un secret..., répond sa maman.Ainsi commence le tendre inventaire des moments de vies partagés entre une mère et son enfant, où tout devient prétexte à s'aimer.Sur chaque double page, Astrid Desbordes a choisi d'opposer en vis-à-vis des situations contraires, qui jouent avec aisance sur les registres du quotidien et de l'imaginaire, de la poésie et de l'humour. Le message de cet irrésistible album est simple et limpide : l'amour est constant et sans condition. Mais c'est dans la toute dernière phrase que se cache le véritable secret : « Je t'aime parce que tu es mon enfant / mais que tu ne seras jamais à moi. »Les illustrations de Pauline Martin, subtiles dans le trait comme dans la couleur, soulignent avec force la délicatesse de cette formidable déclaration d'amour. À partir de 3 ansMon amour existe également en version pop-up (livre animé).
Dans un épisode précédent, Cornebidouille et son double Cornebidouille avaient échoué dans la poubelle, comme de vieux déchets vaincus. Décidées à se venger, elles se réunissent, forment un grain de poussière et hop ! grimpent sur la tête du petit Pierre...puis dans son gosier. Le malheureux enfant ensorcelé se met à parler très bizarrement. Il traite le docteur venu le soigner de " Prout de chamois "...
Oh là là, au secours, danger ! Heureusement, petit Pierre a plus d'un tour dans son sac. Ce n'est pas encore cette fois que Cornebidouille gagnera !
Il était une fois trois vilains brigands. dont la vie changea totalement le jour où ils rencontrèrent Tiffany, la petite orpheline. De trois méchants elle en fit ...des bienfaiteurs de l'humanité.
Ses parents l'ont envoyé au lit pour avoir renâclé devant sa soupe de légumes. Mais Pierre est décidé à ruser et à trouver un moyen imparable pour éliminer non seulement Cornebidouille, la sorcière coincée dans les cabinets, mais aussi l'horrible potage de sa propre mère !
Archibald a remarqué que ce qu'il ressent change souvent, comme le ciel.Parfois, il y a comme un orage à l'intérieur ou des nuages gris, et puis le grand soleil revient.
Incroyable, mais vrai : à sa naissance, Cornebidouille était une merveilleuse et inoffensive petite princesse, adorée de ses parents. Quoi ?! Mais alors, comment cette délicieuse enfant est-elle devenue l'horrible sorcière qui n'a que l'ordure à la bouche, et la terreur planétaire de tous les enfants (sauf un) qui ne veulent pas manger leur soupe ? Vous le saurez bientôt, nom d'un prout de chameau !
« Pondre, toujours pondre ! Il n'y a pas que çà dans la vie ! Moi je veux voir la mer ! » s'écrie Carméla, la petite poule blanche. Son père, le coq, n'a jamais rien entendu d'aussi fou. « File au lit », ordonne-t-il à la poulette. Mais Carméla n'arrive pas à s'endormir...
Petit-Bleu vit à la maison avec Papa-Bleu et Maman-Bleu. Il a plein d'amis, mais son meilleur ami c'est Petit-Jaune. Petit-Jaune habite juste en face avec Papa-Jaune et Maman-Jaune. Petit-Bleu et Petit-Jaune sont tellement contents de se revoir aujourd'hui qu'ils s'embrassent et deviennent... tout vert ! Mais leurs parents vont-ils les reconnaîtreoe Ce livre publié en 1970 est très vite devenu un classique de la littérature jeunesse, tant par son approche graphique originale que par la profondeur des sujets qu'il aborde, notamment l'amitié et la différence.
À l'extérieur de la ville, au bord d'une mare où fleurissent des nénuphars, se trouvent deux librairies : l'une sur pilotis, et l'autre en-dessous d'un grand saule pleureur. C'est là que se retrouvent toutes les grenouilles de la mare lorsque c'est l'heure des histoires. Un beau moment de complicité et d'amitié, que les magnifiques illustrations de Miko Yagita dépeignent avec beaucoup de douceur.
J'ai décidé de tout regarder avec mes deux yeux, même s'ils pouvaient me faire rire et pleurer en même temps, pour tout voir en entier.
Baptiste Beaulieu est médecin généraliste et écrivain, auteur de Les gens sont beaux, vendu à plus de 100 000 exemplaires. On a deux yeux pour voir est son deuxième album jeunesse.
C'est l'heure d'aller dormir. Petit Lièvre Brun attrape les longues oreilles de Grand Lièvre Brun et ne les lâche plus. Devine combien je t'aime, dit-il. (tout carton).
Léo et sa maman attendent sur le quai. Un train est annoncé mais ce n'est pas le leur. Les adultes sont distraits, maman fouille dans son sac, un monsieur consulte son portable. Léo est le seul à voir les passagers de ce drôle de train orange, bientôt suivi par un autre, vert, et un troisième, tout bleu. Dans chacun, toutes sortes d'animaux, oiseaux, mammifères, poissons... Mais que se passe-t-il aujourd'hui ?
« Un jour, mes parents m'ont dit que j'allais avoir une petite soeur. C'est drôle, je ne me souvenais pas leur avoir demandé. » C'est Archibald qui nous fait cet aveu en introduction du nouvel album de Pauline Martin et Astrid Desbordes, qui reprennent ici le personnage de Mon Amour dans le rôle d'un grand frère curieux mais dubitatif face à l'arrivée d'une petite soeur avec laquelle il va désormais devoir compter.
Au fil des pages, la petite soeur grandit, trouve sa place dans les jeux, dans le coeur, mais aussi dans les inquiétudes d'un grand frère parfois jaloux, souvent tendre et finalement très fier de ce rôle nouveau. Car, nous dit Archibald, « ce que je préfère avec ma petite soeur, c'est être son grand frère ».
Astrid Desbordes nous surprend une nouvelle fois par la subtilité et l'humour de son propos, remarquablement soutenu par les illustrations de Pauline Martin.
À partir de 3 ans
Le septième tome des aventures de Taupe & Mulot ! En cette belle journée d'automne, Taupe est d'humeur aventurière. Il décide de grimper au sommet d'un pin pour mieux apprécier la vue. Mulot a le vertige et refuse de l'accompagner... C'est pourtant lui qui finit par se casser la patte, en fuyant un Taupe déterminé à lui faire prendre de la hauteur ! Heureusement, leurs amis de la forêt viennent à sa rescousse...
Ourson et Pinson sont les meilleurs amis du monde. Ils ne sont pas toujours d'accord, sauf sur une chose : tout ce qu'ils veulent est que l'autre soit heureux.
Il était une fois un petit lapin qui ne savait dire qu'une chose : CACA BOUDIN ! Du matin au soir et du soir au matin : CACA BOUDIN ! À l'heure de la soupe et à l'heure du bain : CACA BOUDIN ! Il manque un loup à cette histoire, le voilà, tiens : CACA BOUDIN !
Charlotte a un ami qui n'est pas comme les autres. C'est un chien au pelage bleu et aux yeux verts brillants comme des pierres précieuses. Il vient la voir tous les soirs. Charlotte aimerait le garder mais sa maman s'y oppose. C'est alors qu'elle se perd dans la forêt.
Papa Grenouille transmet une leçon importante : « Fils, c'est la jungle, ici ! il n'y a qu'une seule loi : la loi du plus fort ! Et pour être fort... il faut des muscles ! ». Petite Grenouille s'estime assez musclée pour s'aventurer dans la jungle, terrible jungle...
C'est le printemps, fini d'hiberner ! Bat la chauve-souris en a assez de sa grotte obscure. Il veut voir le jour. Il prend son envol et BOUM ! c'est le choc : sa route vient de croiser celle de Flamingo, un joyeux flamant rose, amoureux de grand air, de soleil et de photographie. Entre ces deux êtres que tout oppose, l'amitié est-elle possible ? Oui bien sûr, à condition de respecter ses différences.